14.6.09

Gute nacht, freunde...


C'est fini, voilà. Et déjà j'ai l'impression qu'elle était chez moi il y a une éternité, tellement le départ de vendredi matin a été brutal. Brutal, comme l'arrivée... Sept mois, c'était si long. Et les dix jours sont passé si vite... Je ne peux m'empêcher de repenser à ce maudit bus les amenant loin de nous. Et le son de leurs voix chantant "bonsoir mes amis" vibre encore dans mes oreilles. Et ses larmes me semblent encore mouiller mon épaule. Je sais que je les reverrais, je le sais et je le veux. Mais en cet instant je ne vois que mon désarroi.
Ich vermisse euch...






(A bientôt pour un post moins mélancolique et plus superficiel...)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Si seulement l'humain était un peu moins humain... on ne s'infliegerait pas tant de souffrance ! Ihr felt mir !
Chloé

Anonyme a dit…

Moins mélancolique, plus superficielle stp !
Chloé

L. a dit…

J'espère que tu en as bien profité! :)
Bises.